Bruxelles, le 26 juin 2023: des Falun Gong sont agressés verbalement lors d’une manifestation pacifique
Le 26 juin dernier, un groupe de Falun Gong s’est rendu à Bruxelles, capitale européenne, afin de manifester pacifiquement pour faire entendre les droits des personnes injustement incarcérées en Chine et qui font l’objet de tortures et de prélèvements forcés d’organes, entraînant leur mort.
Ce 26 juin est en effet une date importante car elle est dédiée au soutien des personnes victimes de tortures.
Cette journée dans la capitale européenne a été l’occasion de belles rencontres et a permis de faire connaître la vérité à nombre de passants, dont beaucoup ont signé la pétition pour faire cesser ces actes barbares et inhumains.
Pourtant, un certain nombre de ressortissants chinois ont tenté de troubler cette manifestation pacifique.
Un groupe de chinois, masque sur le nez et lunettes de soleil masquant leurs visages, ont essayé de déstabiliser et troubler la paix devant le stand des pratiquants. Agitant le drapeau chinois et scandant des slogans à la gloire de la dictature, ils ont tenté par tous les moyens d’empêcher les pratiquants de faire ce pour quoi ils avaient réservé cet espace pour la journée.
Ainsi que l’a démontré un rapport de l’Ecole Militaire, le régime communiste chinois déploie toutes les stratégies possibles pour interférer avec les Falun Gong à l’étranger.
À un moment, une jeune femme chinoise s’est approchée du stand, et a crié après les personnes présentes, des phrases du style: « Ne me parle pas de tout ça, vous faites honte à la Chine ( x N fois), ne me touche pas! »
Deux dames du stand ont essayé de la raisonner mais cette jeune femme a continué à crier: « tu fais honte à la Chine ». Pendant ce temps, d’autres chinois jettent de l’huile sur le feu en demandant si les Falun Gong ont été payés pour venir faire cette manifestation! Cela peut paraître incongru, or il faut savoir que cette tactique (celle de payer pour que des manifestants aillent semer le désordre dans des manifestations pacifiques) est largement employée par le gouvernement chinois, qui ne s’embarrasse guère de scrupules pour arriver à ses fins.
Une courageuse passante essaye alors de s’interposer et de faire en sorte que la jeune femme arrête de dire n’importe quoi, mais celle-ci continue, au point que deux policiers ont du intervenir pour la faire partir.
En résumé: cette manifestation pacifique, autorisée par les autorités bruxelloises et faite dans le respect de tout un chacun, a été la cible (comme beaucoup d’autres) des agressions verbales et des intimidations provoquées par le gouvernement chinois à l’étranger. Cela montre à quel point ce gouvernement ne se soucie que de sa réputation et ne recule devant rien pour intimider ou faire croire que tout discours autre que celui qu’il transmet est inexact.
Est-il possible que nous restions sans rien faire face à de tels agissements?
Si, comme nous, ces récits vous révoltent, vous pouvez apporter votre soutien en signant la pétition en ligne. Lorsque ces innocents citoyens suscitent l’intérêt de l’opinion internationale, les autorités chinoises finissent par céder du terrain et ces pratiquants peuvent avoir un traitement plus clément ou même être relâchés. Chaque voix compte !