Une médecin pratiquante de Falun Gong frappée à mort, ses genoux sont brisés.

La police a battu une femme docteur en médecine interne à tel point qu’elle ne peut plus marcher. Elle a tenté d’enterrer son mari vivant, tout cela au nom de la persécution du Falun Gong.

Une femme docteur en médecine interne de 66 ans et pratiquant le Falun Gong dans la ville de Haining, dans la province du Heilongjiang, a été battue à mort par les autorités communistes et est décédée le 2 juillet 2020.

Madame Wang Shukun
Mme Wang Shukun

Le Parti communiste chinois (PCC) persécute le Falun Gong, une ancienne discipline spirituelle et de méditation également connue sous le nom de Falun Dafa, depuis 1999.

Mme Wang Shukun était docteur en médecine interne à l’hôpital de la ville de Hailin dans la ville de Hailin. Elle n’était pas allée travailler depuis des mois en raison de l’épidémie de coronavirus.

Fin juin 2020, elle a reçu un appel de Han Yan, le secrétaire du parti de l’hôpital, qui lui a dit que le président de l’hôpital, Chen Guangqun, était à sa recherche. Mme Wang pensait que l’hôpital prenait des dispositions pour son retour au travail.

Quand elle est arrivée à l’hôpital, des policiers du poste de police n ° 1 de la ville de Hailin l’attendaient. Les agents voulaient la forcer à écrire des déclarations pour renoncer au Falun Gong.

Comme rapporté par Minghui.org, lorsque Mme Wang a refusé de signer les déclarations, la police a commencé à Frapper la femme de 66 ans à l’hôpital. Ils ont menacé de trouver d’autres personnes pour falsifier les déclarations en son nom si elle ne les signait pas.

Tout en la battant, la police a également exigé qu’elle signe des déclarations selon lesquelles son mari, M. Yu Xioapeng, pratiquait également le Falun Gong.

Un chirurgien du même hôpital, M. Yu Xioapeng, était devenu une cible pour les autorités en refusant de fabriquer des dossiers médicaux comme l’avait demandé le président de l’hôpital de l’époque. Il a été licencié il y a 29 ans pour ne pas avoir falsifié les dossiers, et depuis lors, il n’a cessé d’adresser des pétitions au gouvernement. Il n’a jamais pratiqué le Falun Gong.

Comme Mme Wang refusait de signer leurs déclarations, la police a continué à la frapper pendant plusieurs heures, jusqu’à ce qu’elle ressente des douleurs atroces dans le corps et les jambes, et qu’elle supplie les policiers de la laisser partir.

Les agents ont accepté, mais ont menacé de la retrouver quelques jours plus tard.

Mme Wang a dû monter les escaliers en rampant jusqu’à son appartement, où son mari a remarqué qu’elle avait des bleus sur tout le corps. Elle était trempée de sueur, et ses deux rotules étaient cassées.

Soudain, Mme Wang a ressenti des vertiges et a eu envie de vomir. Elle a souffert d’une hémorragie cérébrale dans l’après-midi du 1er juillet et est décédée le 2 juillet vers 4 h 25. Son corps a été incinéré le 4 juillet.

Après la mort de Mme Wang, la police a continuellement harcelé son mari et l’a menacé de s’en prendre à lui s’il signalait sa mort sur le site web de Minghui.

La police tente d’enterrer son mari vivant.

Le mari de Mme Wang, M. Yu Xioapeng, travaillait à l’hôpital de la ville de Hailin. Il y a vingt-neuf ans, un patient blessé à la cuisse est décédé des suites d’un accident pendant l’anesthésie.

Le mari de Mme Wang était le médecin de garde au moment de l’accident. Le président de l’hôpital, Luan Yuling, a fait pression sur lui pour qu’il falsifie les affirmations selon lesquelles le patient était décédé des suites de saignements excessifs en raison de blessures à l’aorte.

Puisque le mari de Mme Wang refusait de fournir un faux rapport, il a été renvoyé par l’hôpital. Pendant les 29 années suivantes, il s’est rendu à plusieurs reprises à Pékin pour faire appel.

Afin de l’empêcher de faire appel, la police de Hailin a continuellement essayé de trouver des raisons de l’arrêter.

Selon Minghui.org, à un moment donné, les policiers de Hailin ont suivi le mari de Mme Wang à Pékin. Ils l’ont plongé dans le coma à force de le battre. Pensant qu’il était mort, ils ont essayé de l’enterrer dans une banlieue. Pendant l’enterrement, le mari de Mme Wang s’est soudainement réveillé, poussant les officiers à s’enfuir.

Le mari de Mme Wang a déclaré qu’après avoir tenté de l’enterrer vivant, la police a dû trouver une nouvelle raison pour s’en prendre à lui. Essayer d’amener sa femme à prétendre qu’il pratiquait le Falun Gong en la battant était leur solution.

La version originale de cet article a été publiée sur Minghui.org:
https://en.minghui.org/html/articles/2020/7/9/185813.html