17 octobre, journée internationale du don d’organes et de la greffe

Nous avons tous entendu parler du don et de la greffe d’organes. Moment tragique pour les uns, d’espoir pour les autres. 

Dans nos pays libres, ce moment difficile souvent lié au décès d’une personne, est accompagné par des soignants, des personnes attentives à la douleur et au chagrin des familles touchées par le départ soudain d’un être cher. Rien ne se passe tant que le consentement réel de chacun ait été obtenu : c’est un geste humain, solidaire et généreux de bout en bout, encadré par un sens aigu de l’éthique et dans le respect des droits humains- même après la mort. En effet, la loi française stipule que : « Toute personne est présumée avoir consenti au don de ses organes sauf si elle s’inscrit au registre national des refus. Le prélèvement est gratuit et anonyme. La mort du donneur doit être médicalement constatée par 2 médecins. Un entretien avec les proches est organisé par l’équipe médicale. Le médecin qui procède à un prélèvement d’organes sur une personne décédée doit assurer la meilleure restauration possible du corps. »

Imaginez, vous êtes en attente de greffe d’un rein, d’un foie, ou encore d’un cœur depuis un, deux voire trois ans, votre vie est en suspens et le don d’un organe va vous sauver la vie. Ce moment où vous allez recevoir un nouvel organe pour reprendre le cours de votre vie doit lui aussi être entouré d’une éthique, d’un sens profond de l’humain.

Pour autant, il est un pays où l’éthique ne semble guère embarrasser les autorités politiques ou médicales… en Chine par exemple, un riche patient en attente d’organe peut prendre rendez-vous à l’avance pour obtenir un organe, et même un organe vital.

Comble de l’horreur, même pour un cœur, il est possible de prendre rendez-vous à l’avance ! Comment cela est-il possible ? On se croirait au cœur d’une mauvaise dystopie…et pourtant telle est la réalité.

La vidéo faite par ETAC (coalition internationale pour faire cesser les prélèvements forcés d’organes en Chine) explique en détail les faits autour de ces prélèvements forcés, majoritairement pratiqués sur les Falun Gong en Chine.

Découvrez à votre tour les chiffres et la réalité autour de ce trafic de type mafieux, organisé et mis en place par un gouvernement sur ses propres citoyens.

On ne pourra plus dire qu’on ne savait pas.